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'pesticides'




Titre : Nous voulons des coquelicots Type de document : texte imprimé Auteurs : Fabrice Nicolino (1955-), Auteur ; François Veillerette, Auteur Editeur : Paris : Les liens qui libèrent Année de publication : 2018 Importance : 127 p. ISBN/ISSN/EAN : 979-10-209-0665-6 Note générale : Texte de l'Appel : "Nous voulons des coquelicots" Langues : Français (fre) Langues originales : Français (fre) Catégories : [OBSARM] Economie - Ecologie - Energie - Développement durable - Relations Internationales:Energie - Ecologie - Développement durable Tags : "environnement écologie équilibre écologique DDT pesticides produits phytodanitaires épandage Gaucho Monsanto impact humain sur l'environnement alimentation Institut national de la recherche agronomique (INRA) Fédération nationale des syndicats d'exploitants agricoles (FNSEA)" Index. décimale : 577 Ecologie Résumé : Les pesticides sont des poisons qui détruisent tout ce qui est vivant. Ils sont dans l'eau de pluie, dans la rosée du matin, dans le nectar des fleurs et l'estomac des abeilles, dans le cordon ombilical des nouveau-nés, dans le nid des oiseaux, dans le lait des mères, dans les pommes et les cerises.
Les pesticides sont une tragédie pour la santé. Ils provoquent des cancers, des maladies de Parkinson, des troubles moteurs ou cérébraux chez les enfants, des infertilités, des malformations à la naissance. L'exposition aux pesticides est sous-estimée par un système devenu fou, qui préfère la fuite en avant. Quand un pesticide est interdit, dix autres prennent sa place. Il y en a des milliers.
Nous ne reconnaissons plus notre pays. La nature y est défigurée. Le tiers des oiseaux ont disparu en quinze ans ; la moitié des papillons en vingt ans ; les abeilles et les pollinisateurs meurent par milliards ; les grenouilles et les sauterelles semblent comme évanouies ; les fleurs sauvages deviennent rares. Rendez-nous nos coquelicots et nos bleuets ! Rendez-nous la beauté du monde !
En cette année 2018, non, nous ne voulons plus. À aucun prix. Nous exigeons protection. Nous exigeons protection. Nous exigeons l'interdiction de tous les pesticides.Permalink : https://documentation.obsarm.info/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=5047 Nous voulons des coquelicots [texte imprimé] / Fabrice Nicolino (1955-), Auteur ; François Veillerette, Auteur . - Paris : Les liens qui libèrent, 2018 . - 127 p.
ISBN : 979-10-209-0665-6
Texte de l'Appel : "Nous voulons des coquelicots"
Langues : Français (fre) Langues originales : Français (fre)
Catégories : [OBSARM] Economie - Ecologie - Energie - Développement durable - Relations Internationales:Energie - Ecologie - Développement durable Tags : "environnement écologie équilibre écologique DDT pesticides produits phytodanitaires épandage Gaucho Monsanto impact humain sur l'environnement alimentation Institut national de la recherche agronomique (INRA) Fédération nationale des syndicats d'exploitants agricoles (FNSEA)" Index. décimale : 577 Ecologie Résumé : Les pesticides sont des poisons qui détruisent tout ce qui est vivant. Ils sont dans l'eau de pluie, dans la rosée du matin, dans le nectar des fleurs et l'estomac des abeilles, dans le cordon ombilical des nouveau-nés, dans le nid des oiseaux, dans le lait des mères, dans les pommes et les cerises.
Les pesticides sont une tragédie pour la santé. Ils provoquent des cancers, des maladies de Parkinson, des troubles moteurs ou cérébraux chez les enfants, des infertilités, des malformations à la naissance. L'exposition aux pesticides est sous-estimée par un système devenu fou, qui préfère la fuite en avant. Quand un pesticide est interdit, dix autres prennent sa place. Il y en a des milliers.
Nous ne reconnaissons plus notre pays. La nature y est défigurée. Le tiers des oiseaux ont disparu en quinze ans ; la moitié des papillons en vingt ans ; les abeilles et les pollinisateurs meurent par milliards ; les grenouilles et les sauterelles semblent comme évanouies ; les fleurs sauvages deviennent rares. Rendez-nous nos coquelicots et nos bleuets ! Rendez-nous la beauté du monde !
En cette année 2018, non, nous ne voulons plus. À aucun prix. Nous exigeons protection. Nous exigeons protection. Nous exigeons l'interdiction de tous les pesticides.Permalink : https://documentation.obsarm.info/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=5047 Exemplaires(1)
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité IN577NIC IN-577 NIC Livre Bibliothèque CDRPC ECONOMIE - ECOLOGIE - DEVELOPPEMENT Exclu du prêt
Titre : Il était minuit cinq à Bhopal Type de document : texte imprimé Auteurs : Dominique Lapierre (1931-), Auteur ; Javier Moro, Auteur Editeur : Paris [FRA] : Editions Robert Laffont Année de publication : 2001 Importance : 443 p. Présentation : photogr. en noir et blanc, carte ISBN/ISSN/EAN : 978-2-221-09131-9 Langues : Français (fre) Langues originales : Français (fre) Catégories : [OBSARM] Asie - Pacifique - Océan Indien:Pays:Asie du Sud:Inde
[OBSARM] Economie - Ecologie - Energie - Développement durable - Relations Internationales:Tiers - mondeTags : "Inde (1984) catastrophe de Bhopal (1984) Union Carbide produits chimiques pesticides accident industriel accident sanitaire accident environnemental" Index. décimale : 577 Ecologie Résumé : On leur avait promis "un avenir éclatant". C'était ce qu'annonçait le slogan publicitaire d'Union Carlite, société de produits chimiques implantée dans trente-huit pays du monde.
Là, à Bhopal en Inde, la société américaine avait construit de gigantesques cuves contenant une molécule toxique, l'isocyanate de méthyle, qui devait servir à fabriquer à bas prix un pesticide pour sauver les récoltes des ravages occasionnés par les insectes.
Aux abords des cuves, de grands bidonvilles où plusieurs milliers d'Indiens d'ethnies différentes avaient trouvé refuge.
Des commissaires avaient signalé le danger mortel de la molécule et la haute charge toxique de l'air mais leur argumentation avait été balayée d'un revers de la main : l'usine était, selon ses responsables, "aussi inoffensive qu'une fabrique de chocolat".
Durant, la nuit du 2 décembre 1984, 42 tonnes d'isocyanate de méthyle se sont échappées de la cuve 106, entre 16 000 et 30 000 personnes du bidonville sont mortes d'asphyxie dans d'atroces souffrances. 500 000 habitants contaminés porteront toute leur vie les séquelles physiques de cet accident.
Dominique Lapierre et Javier Moro reconstituent la lente, complexe et inéluctable course vers la catastrophe.
Leur enquête complète a nécessité trois ans de travail. Il était minuit cinq à Bhopal s'impose comme le livre de référence pour comprendre et ne plus jamais oublier l'apocalypse de BhopalPermalink : https://documentation.obsarm.info/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=5513 Il était minuit cinq à Bhopal [texte imprimé] / Dominique Lapierre (1931-), Auteur ; Javier Moro, Auteur . - Paris [FRA] : Editions Robert Laffont, 2001 . - 443 p. : photogr. en noir et blanc, carte.
ISBN : 978-2-221-09131-9
Langues : Français (fre) Langues originales : Français (fre)
Catégories : [OBSARM] Asie - Pacifique - Océan Indien:Pays:Asie du Sud:Inde
[OBSARM] Economie - Ecologie - Energie - Développement durable - Relations Internationales:Tiers - mondeTags : "Inde (1984) catastrophe de Bhopal (1984) Union Carbide produits chimiques pesticides accident industriel accident sanitaire accident environnemental" Index. décimale : 577 Ecologie Résumé : On leur avait promis "un avenir éclatant". C'était ce qu'annonçait le slogan publicitaire d'Union Carlite, société de produits chimiques implantée dans trente-huit pays du monde.
Là, à Bhopal en Inde, la société américaine avait construit de gigantesques cuves contenant une molécule toxique, l'isocyanate de méthyle, qui devait servir à fabriquer à bas prix un pesticide pour sauver les récoltes des ravages occasionnés par les insectes.
Aux abords des cuves, de grands bidonvilles où plusieurs milliers d'Indiens d'ethnies différentes avaient trouvé refuge.
Des commissaires avaient signalé le danger mortel de la molécule et la haute charge toxique de l'air mais leur argumentation avait été balayée d'un revers de la main : l'usine était, selon ses responsables, "aussi inoffensive qu'une fabrique de chocolat".
Durant, la nuit du 2 décembre 1984, 42 tonnes d'isocyanate de méthyle se sont échappées de la cuve 106, entre 16 000 et 30 000 personnes du bidonville sont mortes d'asphyxie dans d'atroces souffrances. 500 000 habitants contaminés porteront toute leur vie les séquelles physiques de cet accident.
Dominique Lapierre et Javier Moro reconstituent la lente, complexe et inéluctable course vers la catastrophe.
Leur enquête complète a nécessité trois ans de travail. Il était minuit cinq à Bhopal s'impose comme le livre de référence pour comprendre et ne plus jamais oublier l'apocalypse de BhopalPermalink : https://documentation.obsarm.info/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=5513 Exemplaires(1)
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité SP577LAP SP-577 LAP Livre Bibliothèque CDRPC ASIE - PACIFIQUE - OCEAN INDIEN Exclu du prêt